Hamilton admet avoir connu des "échecs" dans sa lutte pour la diversité en F1

Lewis Hamilton a admis avoir parfois le sentiment d'échouer dans ses efforts pour combattre les inégalités et améliorer la diversité en F1.

Le pilote Mercedes a été une source d'inspiration ces dernières années en mettant l'accent sur ces problématiques, notamment en créant des projets tels que la Commission Hamilton et Mission 44, et en jouant un rôle essentiel dans le programme Accelerate 25 de son équipe.

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Le septuple champion de F1 reconnaît toutefois qu'il ne peut donner qu'une partie de lui-même et qu'il a souvent l'impression d'être confronté à une bataille difficile.

"Je dirais qu'au cours de ces dernières années, j'ai lentement retiré les couches, mais ce n'est pas facile de le faire lorsque vous êtes sous les feux de la rampe", a déclaré Hamilton, dans une interview récente au New York Times.

"Ce n'est vraiment, vraiment pas facile de progresser autant sous les feux de la rampe. Vous faites tellement d'erreurs. Rien ne peut vous préparer à ce voyage."

"Il y a des jours où je n'ai pas l'impression d'en faire assez, des jours où je n'ai pas l'impression de devoir en faire plus et puis il y a des jours où j'ai l'impression de laisser tomber les gens parce que les problèmes sont partout."

"Je dois juste continuer à me rappeler de garder le cap, de continuer à faire ce que je fais".

Hamilton fait face à un "travail constant" avec des "conversations difficiles"

Lewis Hamilton a commencé sa bataille en 2020, après le décès de George Floyd en mai de la même année.

Cela a conduit le Britannique à s'agenouiller avant les Grand Prix puis a conduit la F1 à lancer son projet #WeRaceAsOne.

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Bien que des changements aient été apportés depuis, Hamilton sait qu'il reste encore du travail à faire, mais la lutte est toujours d'actualité. "Si je n'aborde pas ces conversations difficiles avec les gens, elles ne seront pas discutées ou abordées, ou l'énergie des organisations ne sera pas utilisée pour créer plus d'inclusivité", a-t-il ajouté.

"Prendre le temps d'avoir ces conversations, de comprendre ce que cela signifie et à quel point cela peut être positif pour tout le monde, cela prend du temps. C'est un travail constant que de les avoir", a conclu le coéquipier de George Russell chez Mercedes.