
Hamilton a eu un "horrible" ressenti dans sa monoplace vendredi à Austin !
Hamilton a eu un "horrible" ressenti dans sa monoplace vendredi à Austin !

Lewis Hamilton a terminé les deux premières séances d'essais libres du Grand Prix des Etats-Unis 2022 dans le top 10 ce vendredi.
La première séance d'essais (EL1) s'est déroulée dans des conditions normales, tandis que la deuxième (EL2) était consacrée aux tests Pirelli. Lors des EL1, le britannique est entré dans le top 3. Avec un tour chronométré en 1:37.332, il a terminé à 0.475 seconde du temps référence de Carlos Sainz (à noter que Charles Leclerc n'a pas participé aux EL1 ayant laissé sa place au pilote de réserve Ferrari Robert Schwartzman). En EL2, le britannique s'est retrouvé à 2.888 secondes de Charles Leclerc.
Brundle attaque la FIA : elle a besoin d'un grand nettoyage !Lire plus
Hamilton fier du travail accompli par Mercedes
Mercedes a apporté pas moins de quatre évolutions ce week-end à Austin pour la 19e manche du Championnat du monde 2022. Un nouvel aileron avant, des bordures et des clôtures du fond plat, ainsi qu'une légère modification du l'aileron arrière.
Ce n'est que lors des EL1 que la validation de ses nouveaux éléments a pu être réalisée. Le nouvel aileron n'a pas encore pu être testé, étant jugé non conforme par la FIA selon Canal Plus. Malgré tout, Hamilton a bien ressenti l'apport de nouvelles pièces dans sa W13.
"Tout s'est déroulé comme prévu, et tout d'abord je suis très reconnaissant à tout le monde à l'usine pour avoir travaillé si dur et nous avoir apporté une amélioration ce week-end," a-t-il tenu à souligner.
"L'année a été difficile pour tout le monde à l'usine, et je leur suis très reconnaissant de continuer à pousser, à garder la tête basse et à sortir ces nouvelles pièces."
"Et j'ai gardé la voiture en un seul morceau aujourd'hui, ce qui est bien, à peu près. Et j'ai senti quelques améliorations dans la voiture..."
"Évidemment, cette session [FP2] a été un peu gaspillée en termes de performance. Mais la P1 était assez bonne et j'espère que nous ferons quelques changements ce soir et nous saurons demain exactement où nous en sommes. Mais j'ai l'impression que nous ne sommes pas trop loin de tout le monde."
Le septuple champion du monde révèle avoir déjà roulé à Austin en 2022
Bien qu'il ait senti des améliorations dans sa monoplace, le circuit bosselé d'Austin met à l'épreuve le physique des pilotes. Lorsqu'il a été interrogé sur son ressenti dans le cockpit, avec les caractéristiques des monoplaces de 2022, il a répondu, sur le ton de l'humour : "Horrible...(rires). Oh mon Dieu, mec..."
Il avoue avoir déjà roulé à Austin cette année.
"Je suis venu ici après Montréal et j'ai conduit la voiture de l'année dernière (W12). Et je... Ah c'était tellement bien. Je me souviens être sorti, juste rayonnant de là à là (il montre l'extrémité de sa bouche). Parce que c'était si doux. J'avais de l'appui, une bonne puissance."
"Évidemment, nous avons perdu un peu de puissance avec les biocarburants et maintenant la voiture (la W13 de 2022) est si raide..."
"Et puis maintenant vous venez et conduisez avec cette voiture et vous avez juste... Heureusement, je n'ai pas beaucoup de sentiments, parce que si j'en avais, ils seraient tous sortis cette année, c'est sûr."
"C'est juste tellement, tellement bosselé. Je prie vraiment pour qu'il y ait une autre voiture bosselée l'année prochaine (rires)."
Le ressenti d'Hamilton sur les essais Pirelli
Concernant les EL2 où il s'agissait d'effecteur des tests pour Pirelli en prévision de la saison 2023, Hamilton reconnait que le plus important était de partager son ressenti du mieux possible.
"En fait, ce n'est pas si mal. C'est une question de sensations. C'est comme une expérience amusante pour être honnête, vous ne savez pas à quoi vous attendre, et il y a toujours un équilibre différent - les pneus réagissent de tellement de façons différentes à chaque fois que vous sortez, quand vous essayez quelque chose de nouveau."
"Parfois les pneus avant sont plus forts... et ça peut être dans les virages à basse vitesse. Ça peut être dans un premier virage. Ça peut être au milieu du virage. Ça peut être sur la traction. Ça peut être à haute vitesse."
"C'est intéressant, alors que vous essayez juste de vous mettre dans le rythme et de sentir quelle est la différence et d'essayer de stocker quelles sont les différences, alors quand vous arrivez (dans le garage), vous devez essayer de toutes les noter."
"Et vous savez, quand vous faites le test en aveugle, vous espérez que votre sentiment est juste. Mais oui, vous devez juste dire ce que vous ressentez."
Naturellement, les pilotes ont du adapter leur pilotage pendant cette deuxième séance, n'allant pas forcément à la limite. Et Hamilton parle des différences entre réaliser ce type de tests aujourd'hui par rapport à ce qui était fait par le passé.
"Oui, je dirais... Avec les voitures des années précédentes. La voiture de l'année dernière, par exemple, était beaucoup plus prévisible. Avec celle-là, vous pouviez partir, pousser et voir comment ça se passe. Alors qu'avec cette voiture, vous devez vraiment vous y préparer."
"Et aussi cette année, évidemment, nous avons les couvertures (chauffantes) des pneus à 50 degrés. Vous ne pouviez pas simplement sortir et pousser parce que les temps (au tour) n'étaient pas là. Donc vous construisez, construisez et ensuite vous tentez votre chance," a-t-il conclu.Lewis Hamilton a terminé les deux premières séances d'essais libres du Grand Prix des États-Unis 2022 dans le top 10 ce vendredi.
La première séance d'essais (EL1) s'est déroulée dans des conditions normales, tandis que la deuxième (EL2) était consacrée aux tests Pirelli. Lors des EL1, le Britannique est entré dans le top 3. Avec un tour chronométré en 1:37.332, il est à 0.475 seconde du temps référence de Carlos Sainz (à noter que Charles Leclerc n'a pas participé aux EL1 ayant laissé sa place au pilote de réserve Ferrari Robert Schwartzman). En EL2, le Britannique s'est retrouvé à 2.888 secondes de la tête.
Brundle attaque la FIA : elle a besoin d'un grand nettoyage !Lire plus
Hamilton fier du travail accompli par Mercedes
Mercedes a apporté pas moins de quatre évolutions ce week-end à Austin pour la 19e manche du Championnat du monde 2022. Un nouvel aileron avant, des bordures et des clôtures du fond plat, ainsi qu'une légère modification de l'aileron arrière. Ce n'est que lors des EL1 que la validation de ses nouveaux éléments a pu être réalisée. Le nouvel aileron n'a pas encore pu être testé, étant jugé non conforme par la FIA selon Canal Plus. Malgré tout, Hamilton a bien ressenti l'apport de nouvelles pièces dans sa W13.
"Tout s'est déroulé comme prévu, et tout d'abord je suis très reconnaissant à tout le monde à l'usine pour avoir travaillé si dur et nous avoir apporté une amélioration ce week-end," a-t-il tenu à souligner.
"L'année a été difficile pour tout le monde à l'usine, et je leur suis très reconnaissant de continuer à pousser, à garder la tête basse et à sortir ces nouvelles pièces."
"Et j'ai gardé la voiture en un seul morceau aujourd'hui, ce qui est bien, à peu près. Et j'ai senti quelques améliorations dans la voiture..."
"Évidemment, cette session [FP2] a été un peu gaspillée en termes de performance. Mais la P1 était assez bonne et j'espère que nous ferons quelques changements ce soir et nous saurons demain exactement où nous en sommes. Mais j'ai l'impression que nous ne sommes pas trop loin de tout le monde."
Le septuple champion du monde révèle avoir déjà roulé à Austin en 2022
Bien qu'il ait senti des améliorations dans sa monoplace, le circuit bosselé d'Austin met à l'épreuve le physique des pilotes. Lorsqu'il a été interrogé sur son ressenti dans le cockpit, avec la raideur des voitures 2022, il a répondu, sur le ton de l'humour : "Horrible...(rires). Oh mon Dieu, mec..."
Il avoue avoir déjà roulé à Austin cette année.
"Je suis venu ici après Montréal et j'ai conduit la voiture de l'année dernière (W12). Et je... Ah c'était tellement bien. Je me souviens être sorti, juste rayonnant de là à là (il montre l'extrémité de sa bouche). Parce que c'était si doux. J'avais de l'appui, une bonne puissance."
"Évidemment, nous avons perdu un peu de puissance avec les biocarburants et maintenant la voiture (la W13 de 2022) est si raide..."
"Et puis maintenant vous venez et conduisez avec cette voiture et vous avez juste... Heureusement, je n'ai pas beaucoup de sentiments, parce que si j'en avais, ils seraient tous sortis cette année, c'est sûr."
"C'est juste tellement, tellement bosselé. Je prie vraiment pour qu'il y ait une autre voiture bosselée l'année prochaine (rires)."
Le ressenti d'Hamilton sur les essais Pirelli
Concernant les EL2 où il s'agissait d'effecteur des tests pour Pirelli en prévision de la saison 2023, Hamilton reconnaît que le plus important était de partager son ressenti du mieux possible.
"En fait, ce n'est pas si mal. C'est une question de sensations. C'est comme une expérience amusante pour être honnête, vous ne savez pas à quoi vous attendre, et il y a toujours un équilibre différent - les pneus réagissent de tellement de façons différentes chaque fois que vous sortez, quand vous essayez quelque chose de nouveau."
"Parfois les pneus avant sont plus forts... et ça peut être dans les virages à basse vitesse. Ça peut être dans un premier virage. Ça peut être au milieu du virage. Ça peut être sur la traction. Ça peut être à haute vitesse."
"C'est intéressant, alors que vous essayez juste de vous mettre dans le rythme et de sentir quelle est la différence et d'essayer de stocker quelles sont les différences, alors quand vous arrivez (dans le garage), vous devez essayer de toutes les noter."
"Et vous savez, quand vous faites le test en aveugle, vous espérez que votre sentiment est juste. Mais oui, vous devez juste dire ce que vous ressentez."
Naturellement, les pilotes ont dû adapter leur pilotage pendant cette deuxième séance, n'allant pas forcément à la limite. Et Hamilton parle des différences entre réaliser ce type de tests aujourd'hui par rapport à ce qui était fait par le passé.
"Oui, je dirais... Avec les voitures des années précédentes. La voiture de l'année dernière, par exemple, était beaucoup plus prévisible. Avec celle-là, vous pouviez partir, pousser et voir comment ça se passe. Alors qu'avec cette voiture, vous devez vraiment vous y préparer."
"Et aussi cette année, évidemment, nous avons les couvertures (chauffantes) des pneus à 50 degrés. Vous ne pouviez pas simplement sortir et pousser parce que les temps (au tour) n'étaient pas là. Donc vous construisez, construisez, ensuite vous tentez votre chance," a-t-il conclu.
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