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Hamilton attend plus d'actions de la part de la F1 et des médias !

Hamilton attend plus d'actions de la part de la F1 et des médias !

Actualités F1

Hamilton attend plus d'actions de la part de la F1 et des médias !

Hamilton attend plus d'actions de la part de la F1 et des médias !

Pendant la conférence de presse ce jeudi à Silverstone, Sir Lewis Hamilton a été, en grande partie, interrogé sur les récents propos d'anciens de la F1, dont Nelson Piquet, Bernie Ecclestone et Jackie Stewart.

Pendant les deux semaines de pause entre le Grand Prix du Canada et le Grand Prix de Grande Bretagne, des événements ont eu lieu.

Le pilote de F2 Juri Vips a utilisé le mot "nègre" dans un jeu vidéo qu'il diffusait sur un plateforme de streaming en direct. Red Bull Racing a d'abord condamné ses actions et a ensuite mis fin au soutien apporté à l'Estonien qui, bien que son écurie de F2 Hitech l'ait conservé, ne portera plus les couleurs de Red Bull sur sa monoplace.

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L'ancien triple champion du monde Jackie Stewart, qui a souvent émis des critiques par le passé à l'encontre d'Hamilton, a suggéré que ce dernier devait quitter la F1 pour se concentrer sur ses activités.

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Bernie Ecclestone, l'ancien patron de la F1, a imaginé le scénario menant Hamilton vers la sortie à la fin de l'année 2022, tout en critiquant la manière de s'habiller du septuple champion du monde. Il a également eu des commentaires sur la situation géopolitique actuelle.

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Pour finir, une vidéo a refait sur les réseaux sociaux cette semaine où Nelson Piquet utilisait le terme "o neguinho" ("petit nègre") pour désigner Hamilton, qu'il jugeait responsable dans l'accrochage avec Max Verstappen à Silverstone en 2021. L'ancien triple champion du monde s'est depuis excusé, mais est interdit de paddock par la F1 jusqu'à nouvel ordre.

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L'actualité récente est donc riche d'informations et les médias avaient un grand nombre de questions à poser au septuple champion du monde sur le sujet.

"Pas un seul jour sans que l'on cherche à me faire tomber"

Hamilton répond donc aux questions des journalistes en apportant une recommandation simple, mais qui pourrait aller à l'encontre de certains objectifs des médias.

"Comme je l'ai dit, cela revient simplement à... je le dis à la F1 et aux médias, nous ne devrions pas donner une plateforme à ces personnes", a insisté Hamilton.

"Ces vieilles voix, qu'elles soient inconscientes ou conscientes, ne sont pas d'accord pour que des gens comme moi soient dans ce sport, ne sont pas d'accord pour que les femmes soient là - la discrimination n'est pas quelque chose que nous devrions projeter ou promouvoir et donner une plateforme pour créer et diviser les gens."

"Nous sommes tous pareils et les commentaires que nous entendons de la part de ces personnes ne sont pas utiles."

"Ces deux dernières semaines, il n'y a pas eu un jour où quelqu'un de plus âgé, qui n'est pas dans notre sport ou qui ne sont pas importants dans notre sport depuis des décennies, ait dit des choses négatives et a essayé de me faire tomber."

"Mais je suis toujours là. Je reste fort et je me concentre sur mon travail pour essayer de promouvoir la diversité et l'inclusion au sein de notre organisation."

"Trop c'est trop!"

Pressé par les journalistes sur comment ne pas donner la possibilité à d'anciens acteurs de la F1 d'exprimer leurs idées arriérées au grand public, Hamilton répond en citant l'exemple d'Ecclestone.

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L'homme de 91 ans a été invité par la chaîne publique britannique ITV dans une émission où il a exprimé ses idées sur le conflit en Ukraine. Et Hamilton met en cause la responsabilité des médias :

"Ce que j'ai dit plus tôt, je pense que trop c'est trop, et c'est pourquoi nous devons vraiment pousser à l'action. Mais je veux dire, c'est la question que je vous pose : pourquoi ? Pourquoi donner à la... Je veux dire, je pense que c'était, c'était quoi... Good Morning... BBC... ? [ITV's Good Morning Britain]. Je veux dire, il doit y avoir une certaine responsabilité. Vous savez ce que vous allez obtenir avec ça et je ne sais pas quel est leur but, s'ils cherchaient à créer des divisions, ici au Royaume-Uni, nous n'avons plus besoin de ça."

"Entendre de la part de quelqu'un qui croit à la guerre, au déplacement de millions de personnes, au meurtre de milliers de personnes, la personne qui fait ça, elle la soutient ? Je veux dire, ça me dépasse."

"Et je ne peux pas croire que c'est ce que j'ai entendu aujourd'hui. Et finalement, c'est décevant. Cela n'affecte pas seulement toutes ces personnes là-bas, mais cela affecte tous les pays du monde, et cela affecte les gens ici au Royaume-Uni."

"Et cela va continuer à nous affecter pendant... cela va nous faire reculer de plusieurs décennies, je pense. Mais nous n'avons pas encore vu le vrai poids de la douleur que cela va causer au monde."

"Alors pourquoi ? Nous n'avons plus besoin de soutenir ça. Nous devons nous tourner vers l'avenir. Nous avons besoin de plus de positivité dans le monde et il y a beaucoup de gens qui sont positifs et si vous n'avez rien de positif à apporter à ce que nous voulons faire et à ce que nous voulons être, ne leur laissez pas la place."

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